Les consignes aux auteurs et autrices

La revue Pratiques de formation/Analyses se donnant pour cible prioritaire un public de chercheurs et chercheuses (tous statuts confondus), d’étudiant·es et de professionnel·les d’un large champ de l’éducation populaire et permanente, les articles devront questionner la dimension éducative et/ou (auto)formative des objets/thèmes étudiés.

Plusieurs types de contribution sont attendus.

1) Des articles de recherche soumis dans le cadre d’un appel à contributions pour un dossier thématique, ou hors dossier (envoi spontané, hors appel à contributions)

Les articles de recherche sont des textes problématisés proposant soit une analyse à partir de recueils de données et/ou d’expériences de terrain, soit une étude de corpus. Les notes de synthèse ou écrits théoriques sont également les bienvenus. Les articles soumis peuvent provenir de toutes les disciplines des sciences sociales et humaines. 

Ces articles, dans leur version finale, n’excéderont pas 50 000 signes espaces compris (métadonnées* et résumés exclus). Ils doivent respecter les normes de l’écriture scientifique en ce qui concerne notamment les références à la littérature déjà produite sur le thème étudié (voir le paragraphe sur la présentation des références bibliographiques). 

* À côté de l’article proprement dit, il est nécessaire d’indiquer les éléments suivants (métadonnées) : prénom et nom du ou des auteur(s) et autrice(s), ainsi que son/leur titre, fonction et institution de rattachement, et de joindre un résumé d’une dizaine de lignes ainsi que quelques mots clés.

Le titre de l’article, le résumé et les mots clés sont également attendus dans une version traduite en anglais. Le résumé en langue anglaise sera relu et corrigé au besoin.

Les articles anonymisés seront évalués en double aveugle par deux spécialistes de la question traitée dans l’article – dont une personne extérieure au comité de rédaction – qui pourront retourner des conseils de révision pour une deuxième version.

Les articles retenus paraîtront dans la rubrique Recherches ou Varia.

2) Des contributions pour les autres rubriques de la revue : Cheminements, Témoignages, Résonances, Choses lues, entendues ou vues (CLEV) 

Ces rubriques accueillent des textes ou contributions d’une autre nature : des articles plus courts, des réflexions en cours, des témoignages, des comptes rendus d’expérience ou de « lectures » diverses, des écrits « non académiques » en lien avec la thématique ou tout autre expression publiable sous forme visuelle et/ou sonore (voir la présentation détaillée des rubriques dans la Présentation de la revue : www.pratiquesdeformation.fr/71).

Ces dernières contributions seront évaluées en comité de rédaction qui statuera sur leur éventuelle publication dans l’une des rubriques de la revue.

Les consignes suivantes sont communes à tout type de contribution.

Tous les textes doivent être envoyés sous format Word à l’adresse suivante : contact@pratiquesdeformation.fr
Copie aux coordinateurs/coordinatrices de dossier, s’il y a lieu.

Les articles sont nécessairement originaux. Les auteurs et autrices s’engagent, par leur envoi, à ne pas avoir soumis leur article à une autre revue.

Les textes doivent être envoyés dans un format de texte modifiable (pas de PDF). Les différents niveaux de titres du texte doivent être indiqués clairement, en utilisant au maximum trois niveaux de titres, sans utiliser ni les tabulations, ni le gras, ni le texte souligné ; l’italique est réservé aux titres d’ouvrages ou de revues.

Les images devront être fournies dans un fichier séparé en format .jpg, minimum 200 dpi (qualité minimale pour une bonne lisibilité en ligne).

Si l’article présente des liens Internet, nous vous demandons de bien vouloir vérifier leur pérennité.

Il est possible d’intégrer des notes de bas de page autres que celles signalant une référence bibliographique. Comme elles deviendront des notes de marge dans l’article mis en ligne, elles devront être les plus courtes possible.

La revue ne présente pas de bibliographie supplémentaire en fin d’article.

Écriture inclusive

La revue encourage vivement les auteurs et autrices, dès la première rédaction, à utiliser une écriture inclusive dans le but de rendre les situations de mixité ou de non-mixité du monde social visibles, différemment qu’avec l’usage du masculin neutre. Les recommandations ci-dessous sont à privilégier.

. Le point médian n’est pas un point de ponctuation finale (·). Il « s’écrit » [Majuscule + alt].

. Nous suggérons, quand cela est possible, de privilégier le recours à des termes épicènes (qui ne varient pas selon le genre) : le public plutôt que les spectatrices et les spectateurs, les personnes, les juristes, les fonctionnaires, etc.
Pour d’autres exemples, voir le Guide d’écriture inclusive des Éditions science et bien commun (parag. 2).

. La revue réserve l’usage du point médian aux termes dont la féminisation est marquée par l’ajout d’un -e (avec un doublement de consomme le cas échéant) : les salarié·es, les avocat·es, les professionnel·les, les citoyen·nes, etc.

. Le pluriel ne présente qu’un seul point médian.

. Dans le cas où les terminaisons diffèrent entre les genres, les termes sont déclinés au masculin et au féminin : les sportives et le sportifs, les chercheuses et les chercheurs, les banquières et les banquiers, etc.

. Les accords des adjectifs et autres participes passés suivent la même règle (des professionnel·les engagé·es ont été sollicité·es…).

. Certains termes sont déclinés au féminin (ou au masculin) si les catégories auxquelles ils renvoient sont très majoritairement composées de femmes (ou d’hommes) : les assistantes sociales, par exemple. Ce choix doit alors être justifié au début du texte, en note de bas de page, pour en avertir le lectorat.

. Pour la féminisation des noms de fonctions et des professions, on privilégie les formes déjà existantes. En particulier, on écrit autrice plutôt qu’auteure (tout comme lectrice, traductrice, directrice…), l’ajout d’un -e aux terminaisons en « eur » étant réservé à des cas précis (professeure plutôt que professeuse).

D’autres usages sont toutefois possibles, en accord avec la direction de publication. Dans ces cas, les choix retenus doivent être justifiés et présentés en début de volume ; ils seront par ailleurs appliqués sous l’entière responsabilité des auteurs et autrices et/ou de la direction de publication (le secrétariat d’édition n’étant pas en mesure de juger du « bon usage grammatical » [classique] dans ces cas).

Images ou autres contenus audiovisuels

Les images ou autres contenus audiovisuels accompagnant le texte sont les bienvenus. Dans ce cas, ils devront être envoyés en fichier séparé et les auteurs et autrices devront attester par écrit être propriétaires des droits de leur utilisation. Les images et autres contenus audiovisuels ne devront pas être uniquement illustratifs mais être intégrés dans l’argumentation et/ou être commentés (un titre a minima, légende facultative).

Références bibliographiques

Les références bibliographiques sont présentées dans les notes. Celles-ci figurent en bas de page du fichier Word (et se présenteront en marge du texte, à la lecture en ligne). Il convient de mentionner d’abord le prénom entier des auteurs et autrices. 

1) Les présentations attendues pour la première citation d’une référence bibliographique

– Pour un ouvrage

Michelle Perrot, 2012, Mélancolie ouvrière, Paris, Grasset.

Michel Debeauvais (dir.), 1976, L’Université ouverte : les dossiers de Vincennes, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble.

– Pour un article

Jacques Ardoino, 1993, « L’approche multiréférentielle (plurielle) des situations éducatives et formatives », Pratiques de formation/Analyses, n° 25-26, p. 15-34.

Madeleine Guilbert et Viviane Isambert-Jamati, 1958, « Une étude de biographies professionnelles. Formation et carrière professionnelles de 1 000 jeunes femmes de la région parisienne », Population, n° 4, p. 647-662.

– Pour un chapitre d’ouvrage

Françoise Tétard, 2001, « Le “soixante-huit” des mouvements de jeunesse et d’éducation populaire, de l’occupation du FIAP à la création du CNAJEP », in Geneviève Poujol (dir.), Éducation populaire : le tournant des années 70, Paris, L’Harmattan, p. 27-58.

2) Les présentations attendues pour les références bibliographiques déjà mentionnées (deuxième citation d’un même ouvrage ou article, et les suivantes)

– Pour un ouvrage : Prénom Nom, année, Titre de l’ouvrage, op. cit., p. x.

– Pour un article : Prénom Nom, année, « Titre de l’article », art. cit., p. x.

Si deux citations d’une même source se suivent : Ibid., p. x.

Toute citation doit être strictement conforme à sa « forme » originale (contenu et typographie) et se présente entre guillemets ; les coupes sont indiquées avec le signe […]. La référence bibliographique de la citation doit mentionner le numéro de la page de l’ouvrage ou de l’article dont elle est extraite.

Typographie et abréviations courantes

1er, 1re ________ et non 1ère

2e, 3e ________ et non 2ème ou 3è

XXe siècle_____ et non XXème ou XX° ou 20è)

chap. _________ et non ch.

etc. __________ et non etc…

p. ____________ et non pas pp. 

Utiliser les guillemets français « … » pour un usage général. Les guillemets anglais “…” sont utilisés à l’intérieur d’une citation déjà entre guillemets.

Pour les règles typographiques et davantage d’exemples, voir : https://archive.framalibre.org/article2225.html#b_presentation